Regrets de n’avoir pu venir te rendre un dernier hommage bien sincère, comme j’avais pu le faire pour ton cher René. Robert, Laurence, bébé René et toute la famille me pardonneront j’espère. Nous aurions pu évoquer ton légendaire dynamisme. Je vous embrasse tous, et Laurence deux fois. Perdre une maman, même centenaire, est une cruelle épreuve. À bientôt. Calou.